En Guinée Équatoriale, Baltasar Ebang Engonga a été destitué de son rôle à l’Agence Nationale d’Investigation Financière en plein procès pour détournement de fonds publics. Le gouvernement a rapidement pris cette décision, laissant le fonctionnaire affronter la justice sans son poste.
La destitution de Baltasar Ebang Engonga s’inscrit dans une série de renvois touchant l’institution. Le vice-président a récemment abordé des scandales liés à des sextapes, soulignant que tous les impliqués dans des actes de dépravation au sein des institutions seraient également sanctionnés.
Le père de Baltasar Ebang Engonga, Baltasar Engonga Edjo’o, pourrait également ressentir les répercussions des actions de son fils. Bien qu’il ne soit pas directement impliqué, sa réputation est en jeu, en raison de sa position influente en Afrique centrale.
Des rumeurs évoquent un possible renvoi du président de la commission de la CEMAC, rôle actuellement occupé par Baltasar Engonga Edjo’o. Cette instabilité pourrait affecter sa carrière, bien qu’aucune décision n’ait encore été annoncée officiellement.
Alors que l’affaire continue de faire des vagues, l’attention reste focalisée sur les développements à venir. Baltasar Ebang Engonga devra naviguer dans cette tempête médiatique et judiciaire, sans le soutien de son ancien titre.
Le cas de Baltasar Ebang Engonga met en lumière la volonté du gouvernement équato-guinéen de se montrer intraitable face aux scandales, cherchant à restaurer l’intégrité au sein de ses institutions.
